une école comme les autres

Lundi 20 novembre 17h38

    C'est ma rentrée scolaire, la chose la plus ennuyeuse au monde. Les profs demandent que tu te présente, tu vas prendre ton emploie du temps, enfin tu connais tout ça tu l'as déjà vécu. La seule chose qui a fait que cette journée était intéressante c'est un garçon. Oui, un gacs. Mais pas n'importe lequel, il était trop beau. Il a les cheveux brun avec quelque mèche blonde foncé, des yeux marron a en coupée le souffle, il est grand, et il a l"air plutôt sportif. Pas au sens : "mon Dieux vous avez vu les abdos  qu'il a". Nooooooon. On a eu sport les filles de la gim et les gacs de l'athlétisme. Et on peux dire qu'il sait se faire remarquer sans s'en apercevoir. Bizarre. Mais ça prouve qu'il n'est pas un de ces mecs qui se la joue. Un point de plus pour lui.
Les profs on s'en fou. M.français ne m'apprend rien, évidement. Le seul cours qui retint mon attention c'est celui de math, j'adore les maths. Les sport le niveau n'est pas assez haut parce que moi aussi je suis une bête en sport surtout en gym, en combat, et ça peut paraître bizarre mais en danse aussi. Je trouve que ça prépare bien au combat mais bon chacun son avis.
Je ne veux pas rester seule mais je n'arrives pas a me rapprocher des autres. Pour moi ils sont trop différent . J'ai besoin de temps pour m'habituer a tout. C'est pour quoi le "choc" d'avoir vu ce garçon dont je ne connait pas le nom est vite passer comme un poison qui suit le courant de la rivière.
Une fille qui s'appelle Jasmina doit me servir de guide. Elle parle un peu français mais pas beaucoup enfet c'est sa première année. Elle plutôt sympa mais c'est comme les autres je n'arrives pas a me sentir proche d'elle. J'ai cette impression de solitude et elle ne disparaît pas. Tout change bien trop vite.

     Après les cours j'ai fait comme tout le monde, je suis rentré chez moi. J'habite dans une grande maison, ou plutôt, une bien trop grande villa. Elle ne fait qu'augmenté mon sentiment de solitude. Je ne connais pas encore toutes les pièces de la maison-villa et j'ai l'impression que le puzzle ne cesse d'augmenté ses pièces.

          Maintenant, je me demande pourquoi on m'a obligée a aller en Allemagne. Je n'ai vu ma mère qu'en coup de vent, et en contre parti j'ai perdu amis, repère, et surtout j'ai perdu le monde que j'avais fabriqué. Depuis que je suis ici mes rêves se sont figés. Je vois des scènes de mes anciens rêves mais elle n'avance pas,elle reste là, immobile. 

première journée d'Amelia crosse en lieu inconnu.